Il est certain que M. Robert Faurisson restera dans l’histoire parce qu’il est cet homme, symbole de son époque, comme d’autres avant lui, en d’autres temps, d’autres contextes, qui aura été persécuté précisément pour sa recherche et sa réflexion pacifiques mais indépendantes, sans aucune soumission ou compromission. Et, par lui, Ariane Chemin, aussi, cette obscure journaliste du Monde, que M. Robert Faurisson attaque en justice, par refus de se laisser calomnier, encore, (et pour mettre, avec son naturel panache, l’institution devant ses responsabilités … et lui tendre le miroir à venir de son iniquité si probable dans son jugement à venir), laissera elle-même, son nom pour les générations futures. Du point de vue du rapport objectif des forces engagées, elle symbolisera, a contrario, ad vitam aeternam, une petite mais si servile agente du système qui aura particulièrement flatté les très puissantes et vivantes icônes idéologiques de son époque, (en l’occurrence, les « glorieux » Badinter, les Klarsfeld, et autres Jakubowicz, etc.), en imitant dévotement leur discours, mais se sera inversement acharnée sur un homme socialement très faible, démuni, particulièrement dominé par le pouvoir global, et qui n’a que sa vive et grande intelligence, sa bonne foi, son humour, son calme (son « self-control » britannique, écossais), sa patience, sa seule personne, un gentil avocat, quelques très rares soutiens, pour résister à la meute de la haine et de l’intolérance qui ne supporte absolument pas que l’on puisse douter (même méthodiquement, dans une démarche cartésienne), enquêter sur les faits, rechercher la vérité historique, réfléchir, et en arriver, à penser différemment de ses dogmes, établis à son profit.
Répondre à ce message